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Les portes Stanislas et Sainte-Catherine

La caserne Sainte-Catherine ou caserne Thiry

Les constructions de la rue Sainte-Catherine

(lotissement des Frères de la Charité,  Maison des Frères de Saint-Jean de Dieu)

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Les deux portes Stanislas et Sainte-Catherine

sont dues à Stanislas et se rattachent à son grand plan d'embellissement de la ville de Nancy. A l'extrémité des deux rues Stanislas (anciennement Saint-Stanislas) et Sainte-Catherine, furent élevées deux portes qui reçurent aussi les noms de portes Saint-Stanislas et Sainte-Catherine, la première à l'endroit où existe encore la porte Stanislas, la seconde dans la rue Sainte-Catherine à la hauteur de la rue Godron.


Les portes, construites en 1752 avec les débris de l'ancienne Porte Royale, ne sont pas les portes actuelles. Il existe une reproduction de ces portes dans le Compte général de la dépense des édifices en 1761. On voit qu'elles étaient assez simples, ornées seulement de trophées militaires au-dessus des petites portes latérales et en haut de deux bas-reliefs représentant des groupes d'enfants (photo ci-dessous). Elles ne ressemblent pas à celles reproduites sur le plan de Belprey qui amène sa vision d’artiste.




Dessin représentant les  premières portes Stanislas et Sainte-Catherine


Stanislas ne fut pas satisfait car la construction de ces portes n'avait pas été réalisé sérieusement et elles représentaient une menace pour le passant.

 Le 19 novembre 1761, le roi de Pologne dit à son lieutenant-général de police Durival de faire réparer la façade de la porte Saint-Nicolas: « Vous avez fort bien fait accommoder la porte Saint-Nicolas ; cela me fait penser à faire quelque chose de celles de Saint-Stanislas et de Sainte-Catherine. »

 L'architecte Richard Mique, qui venait d'être anobli quelques jours auparavant (16 novembre) reçut aussitôt l'ordre de faire le plan de nouvelles portes. Le 14 avril 1762, on commença la démolition des premières ; le 7 juillet, on posa la première pierre de la nouvelle porte Sainte-Catherine, le 31, celle de la nouvelle porte Saint-Stanislas et les deux monuments furent achevés dans l'année. Quand Richard Mique eut élevé le quartier royal (1765-1770), la caserne Sainte-Catherine (caserne Thiry), la porte Sainte-Catherine fut déplacée et transportée, pierre par pierre, au- delà des casernes, là où elle se trouve actuellement. Démolie en août 1768, elle fut relevée en mars 1770 : la ville de Nancy reculait ses limites du côté de l'Est et la caserne était alors à l'intérieur des enceintes de la ville.

Ces deux portes symétriques ne peuvent soutenir la comparaison avec les portes militaires de l'enceinte de Charles III ; ce sont, comme Guerrier de Dumast les a appelées, de simples joujoux.


La porte Saint-Stanislas , qu'on nomme aujourd'hui « Porte Stanislas », ressemble dans ses lignes générales à la porte Sainte-Catherine. Elle aussi est de style dorique. Sur la façade intérieure (photo ci-dessous), l'entablement qui repose sur les colonnes et forme avant-corps court tout le long de la porte. Au-dessus des petites portes, deux bas-reliefs représentent Minerve assise, s'appuyant d'une main sur une lance, de l'autre sur un bouclier où est sculptée la tête de la Méduse, et Apollon jouant de la lyre. A l'entablement, des triglyphes alternaient avec les armoiries de Stanislas, le buffle avec ses cornes recourbées ; les armoiries ont été effacées sous la Révolution, mais la trace en est encore visible. Au-dessus, quatre statues symbolisent les arts libéraux, la Musique, l'Architecture, la Sculpture, la Peinture ; nous ignorons à quel artiste il faut les attribuer, Walneffer ou Sôntgen ? Derrière ces statues, deux bas-reliefs nous montrent les emblèmes de ces arts.

Autres noms:
- 27/10 1793 Porte de Paris
- 03/01/1794 Porte de la Montagne
"porte de la Montagne" faisait référence aux Montagnards de la Révolution mais qui était aussi un clin d'oeil au dénivelé important qu'avait à l'époque la rue de l'Esplanade (ou rue de la Montagne, ou rue Stanislas) (référence)



- 18 Fructidor An III, Porte de Toul
- 1815 Porte Stanislas






Photos de la porte Stanislas, face côté rue Stanislas
Agence Pierre-Yves Caillault ACMH





Les statues, sur la face côté rue Stanislas (voir texte ci- dessus)'
 photos groupe facebook nancyretroro

Sur la façade extérieure (photo ci-dessous), des trophées d'armes sont sculptés au-dessus des petites baies; d'autres trophées sur l'entablement encadrent deux bas-reliefs : un Mars qui porte un bouclier, à ses côtés un chien, et un Hercule qui tient une massue gigantesque. Ces dernières images sont exécutées sans grande délicatesse.

Pendant longtemps la porte Stanislas était entourée d'une grille.



Porte Stanislas, face côté extérieur, rue Raymond Poincaré
Agence Pierre-Yves Caillault ACMH

Restauration générale, mise en lumière et mise en valeur des abords
Maîtrise d’oeuvre : Pierre-Yves Caillault ACMH
Calendrier des travaux : 2009-2010
Coût des travaux :  676 200 € HT



Photos de la porte Stanislas, face côté rue Raymond Poincaré
Photo JP Puton

La porte Saint-Stanislas reçut des noms divers pendant la période révolutionnaire. On l'appela, le 27 octobre 1793, « Porte de Paris », le 3 janvier 1794, « Porte de la Montagne », le 18 fructidor an III, « Porte de Toul ». Elle devint en 1815 la porte Stanislas tout court. Sur la façade intérieure, on lit encore, à certains jours, le nom de porte de Toul, sur la façade extérieure celui de porte de la Montagne. Le corps de garde placé près de la porte a disparu en 1877.



Porte Stanislas, côté extérieur

- Eglise Saint-Epvre dans le bas de la rue de Serre à gauche;
- la bassine de la Porte Stanislas:
C’est l’une des seules représentations connues de la cage d’une bassine. En effet, ces petites constructions, avant tout utilitaires, ont très peu inspiré les artistes. Elles apparaissent seulement en complément d’une vue.
La cage est la petite construction à l’extérieur de la porte, à gauche. Elle est protégée par de multiples bornes en pierre, preuve de sa haute importance. La bassine Stanislas alimente une fontaine riveraine. (Thèse Etienne Martin)



La porte Stanislas en 1842

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William Turner (1775-1851)  en voyage  passe par Nancy, croquis de la porte Stanislas



La porte Sainte-Catherine dédiée à l'épouse de Stanislas Catherine Opalinska, se compose de trois ouvertures. Au-dessus des baies latérales du côté extérieur, des bas-reliefs avec des trophées d'armes ; au-dessus de la baie centrale, une guirlande de pierre. Des colonnes doriques forment avant-corps et soutiennent en partie l'entablement ; des triglyphes dessinent des compartiments où l'on voit un vaisseau battu par les flots, c'est la barque des Opalinska, les armoiries de Catherine, femme de Stanislas. Au-dessus des portes latérales, deux bas-reliefs : Mercure avec son caducée est assis sur un ballot de marchandises et symbolise le Commerce ; une femme assise tient d'une main une pyramide et, de l'autre, tend une couronne de lauriers; elle représente l'Industrie. Sur la colonnade, on voit deux groupes de femmes qui symbolisent probablement les Lettres et les Sciences, l'Agriculture avec les touffes de blé et Pomone avec les fruits qui s'échappent d'une corne d'abondance. Les décors sculptés sont dus à Jean Joseph Söntgen.



Porte Sainte-Catherine, côté extérieur
Agence Pierre-Yves Caillault ACMH





Détails de la porte  côté ville



Porte Sainte-Catherine gravure vers 1830



Porte Sainte-Catherine 1795


Sous la Révolution, par arrêté du Conseil de la commune du 17 septembre 1791, la porte fut nommée « Porte des Volontaires », et ce nom se lisait encore , surtout par les jours pluvieux, sur l'une et l'autre façade, au-dessus de la baie centrale.

Le 18 fructidor an III, elle fut nommée « Porte de la Garde nationale », et elle recouvra son vocable primitif à la Restauration. La porte, qui était directement reliée par un mur au corps de garde d'un côté, et sur laquelle s'appuyait le mur de la caserne de l'autre, a été dégagée en 1874, et deux passages ont été établis à droite et à gauche.


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La caserne Sainte-Catherine ou caserne Thiry

Façades et toitures sont inscrites aux MH depuis le 30/10/1952

Site occupé un temps par les services  de l'Armée de Terre, le CIRFA ....passé depuis 2021 ou 2022 à Toul et Pont-à-Mousson.

Entre 1717 et 1739 la ville dispose du Quartier de la Citadelle, du Quartier Saint-Jean  (aménagé par le duc Léopold et démoli en 1818) et de l'Hôtel des Suisses (au 26 rue Saint-Michel) acheté par Léopold pour y loger 100 Suisses jusqu'en 1763, du Quartier Neuf depuis 1755 dans l'Opéra de Léopold  datant de  1707  et enfin de la caserne Saint-Nicolas pour le régiment de Han. (voir plan de 1770). Compte-tenu du manque criant d'hébergement, Stanislas charge en 1764 le chancelier Chaumont de la Galaizière et Richard Mique l'architecte  de trouver un emplacement adapté et de faire construire un nouveau Quartier militaire. Les travaux sur cette prairie marécageuse (voir plan de La Ruelle par exemple) dureront de 1764 à 1769. Ce sera la caserne Saint-Catherine. Rappelons que la Lorraine sera rattachée à la France en 1766.



Construction du Quartier Royal par le graveur Dominique Collin (père)

Première pierre posée le 14 juillet 1764

Gravure adjugée 250 euros le 24/05/22



1769 gravure du Quartier Royal terminé, par Yves-Dominique Collin (Dominique Collin fils)


C'est à l'extrémité de la rue Sainte-Catherine que se trouvent le Quartier militaire, bâti par la Ville et le roi Stanislas ainsi que le Jardin Botanique, don de Stanislas.
La caserne Sainte-Catherine (dite aujourd'hui Thiry(*)), a été construite de 1764  à 1769 sur les plans de Richard Mique et Joseph Mique, architectes. Elle a couté 500000 livres pour les trois bâtiments principaux. Elle a été ensuite considérablement développée pour y loger les 26ème et 69ème régiments d'infanterie. Au fronton du bâtiment central, il y a un magnifique bas-relief du sculpteur Söntgen, représentant le roi Stanislas entouré de tous les arts de la paix.
(*) général de division, François-Auguste Thiry, né à Nancy le 24 février I794, mort à Nancy le 18 décembre 1875 et inhumé au cimetière de Préville

Lepage dit au sujet de celle caserne monumentale de Nancy :
« On ne doit pas attribuer complètement la construction des casernes à la munificence de Stanislas : la ville de Nancy et les habitants de la Lorraine et du Barrois y contribuèrent pour une large part; ces derniers, notamment, par le paiement d'une imposition de 200.000 livres de France qui fut frappée sur eux au mois de février 1767 »
En avril 1777, l'empereur Joseph II, fils du dernier duc de Lorraine, passa à Nancy et visita en détail la caserne Sainte-Catherine.

L'ancienne et très vaste caserne Sainte-Catherine, construite par Stanislas pour loger 4.000 hommes, fut inaugurée le 18 juillet 1768; elle fut achevée en 1769, trois ans après la mort du roi de Pologne. C'est sa dernière réalisation. Par arrêt du 5 janvier 1765, le roi Stanislas avait fait don à la Ville de Nancy de tous les terrains compris dans la nouvelle clôture, des casernes dites alors le Quartier Royal.

Cet arrêt complétait ceux des 24 et 30 juillet 1740 par lesquels le Roi de Pologne cédait et abandonnait —en toute propriété —à la Ville de Nancy, les emplacements et tous les bâtiments du Palais Ducal et du Palais du Gouvernement, de l'ancien Arsenal, de la Salle d'Opéra, de l’hôtel des Pages et des bâtiments des portes Saint-Jean, Saint-Nicolas et Saint-Georges, etc.
On peut donc  s'étonner que la Révolution, en 1791, ait fait entrer la Caserne Thiry dans le domaine militaire.



 Le quartier Sainte-Catherine avant 1850 avec les fossés entre les deux ballustrades



Le quartier Sainte-Catherine après 1850, présence d'une grille ; plus de fossés



Trois bâtiments disposés en U, à la haute toiture, à l'aspect massif,  très simples autour d'une place d'armes rectangulaire de 125m par 150m soit 1.25ha. En comparaison, la place Stanislas a une surface de 1.12ha et la place d'Allaince 4250m2.





Le fronton et l'horloge



Le fronton du bâtiment central est du au sculpteur Johann Joseph Söntgen.
 Il représente Stanislas entouré de tous les arts de la paix (législation, théologie, poésie, philosophie et sciences).




Sortie du 26ème de ligne de la caserne Thiry

Historique du 26ème régiment d'infanterie, régiment de Nancy

Du 1er octobre 1887 à 1914, le 26ème régiment d'infanterie de ligne est en garnison à Nancy. Il fait partie de la 11e division, dite "Division de fer", composée des 26e, 37e, 69e et 79e RI, chargée de garder la frontière situé à l'est de la France.



La 11e, peinture par Larteau, 1892.
Palais des Ducs de Lorraine, Musée de Nancy



Ancien café "A la division de Fer" près de la caserne Thiry

La locution Division de fer a désigné plusieurs unités combattantes :
•    La 1re division d'infanterie de Sofia, durant la guerre serbo-bulgare,
•    La 3e division d'infanterie britannique, unité active depuis 1809,
•    La 3e division de l'armée belge, pendant la Première Guerre mondiale,
•    La 4e division de fusiliers russe, pendant la Première Guerre mondiale,
•    La 5e division de l'armée irakienne,
•    La 11e division d'infanterie française,
•    La 15e division d'infanterie roumaine, durant la Première Guerre mondiale,
•    La 168e division d'infanterie allemande, durant la Seconde Guerre mondiale,
•    La 200e division chinoise, active entre 1938 et 1949,
•    La Division de fer, corps franc de la Baltique engagé dans les combats de la guerre d'indépendance lettone.


Le site au début des années 2000



Il est facile de vérifier sur les plans de la ville l'évolution des constructions sur l'emprise de la caserne Thiry. On remarque l"extrême complexité du lieu, des bâtiments de toutes tailles construits sans plan bien particulier au fil des besoins et des époques. Subsistance de jardins (lotissement des Frèes de Saint-Jean- de- Dieu), vides nombreux,..)

Le plan de Le Rouge et Desnos de 1752 montre le site avant constrution de la caserne occupé par des jardins et marécages et le seul bâtiment des frères de la Charité (Saint-Jean- de- Dieu)

Le site de la caserne Thiry s’est modifié depuis 1880 jusqu’au 20ème siècle avec la construction d’un ensemble de bâtiments d’abord en fonction des besoins des militaires puis on a vu la création de maisons de particuliers et enfin  la transformation de plusieurs  bâtiments et la création d’un nouveau pavillon (à l’entrée de la cité administrative) pour faire ce qu'on nomme « la cité administrative » (par l’architecte Jean Bourgon), cité séparée de la partie militaire.

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Les constructions de la rue Sainte-Catherine



Lotissement des Frères de la Charité
Maisons construites toutes sur le même modèle



Façade sur la rue Sainte-Catherine de l'ancien couvent
 Maison des Frères de Saint-Jean- de- Dieu.
La façade est placée dans l'alignement de la rue mais avant déplacement elle était associée au  bâtiment qui est en position oblique par rapport à la rue Sainte-Catherine.



L'arrière de la maison de Saint-Jean de Dieu en 1889

Saint-Jean de Dieu devint en 1793, l'hôpital Marat, rue des Volontaires Nationaux (ci-devant rue Sainte-Catherine). Il accueillit pendant peu de temps des militaires et fut rattaché à l'hôpital Lepelletier (ci-devant hôpital Saint- Charles), lui-même rattaché à l'hôpital Saint-Julien, dans le cadre de ce qui allait devenir les hospices civils de Nancy. Les six lits furent virés à l'hôpital ci-devant Saint-Charles, mais leur dotation ne fut pas remboursée aux hospices civils. Leur existence légale fut alors contestée : malgré tout, les administrateurs des hospices en 1820 les ont comptés au nombre des charges laissées par l'ancien régime.
Le 24 Nivose an IV, fut réalisé à cet effet un état des biens des frères de la Charité : bâtiment où logeaient les frères, leur église, un jardin verger et potager, une maison de jardinier, une terre et une écurie, 18 maisons rue des Volontaires Nationaux, 48 fauchées de prés en 5 pièces sur le ban de Rosières. Les mobiliers et matériels furent déménagés et récupérés par les hospices civils. Les immeubles de la rue Sainte-Catherine, hôpital et les 18 maisons adjacentes (nos 5 à 23), furent attribués aux hospices par la Nation en remplacement des biens confisqués. Les hospices louèrent ces immeubles à des particuliers, comme Louis Demernot, ci-devant négociant à Paris, qui, le 26 Brumaire An VIII, ouvrit à Nancy le premier café concert, appelé le "Grand Caveau".  On y trouvait à manger à toute heure du jour. A partir du 23 Germinal, entre 9 et 10 heures du soir, tous les huit jours, était tiré un feu d'artifice qui attira un grand public. La durée de ce café n'est pas connue. Les hospices vendirent ces bâtiments le 18 novembre 1806, pour 91 605 francs, mais nous ne connaissons pas les premiers propriétaires. En 1833, les familles Keller et Guérin (faïences K et G) acquirent la propriété. Eugénie Guérin épousa en 1843 Eugène Barbey et, depuis lors, la propriété est demeurée entre les mains de la famille Barbey. L'ensemble fut remanié, mais l'orientation oblique du bâtiment subsiste par rapport à la rue Sainte-Catherine. La chapelle, perpendiculaire au bâtiment, subsiste, transformée en appartements : on y voit encore de grandes fenêtres cintrées dont certaines ont été murées. (cf)


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Caserne Sainte-Catherine, les plans de 1770 et 1752

(après et avant construction de la caserne)



les repères: Les casernes d'infanterie (83), le nouvel emplacement de la porte Sainte-Catherine ( 49), l'arrière cour des casernes (89), les jardins de l'Intendance (92), le bastion de Vaudémont (19), place d'Alliance (51), les Frères de Saint-Jean- de- Dieu (60)

 Plan des Villes, Citadelle, Faubourgs, et Environs de Nancy. Dédiée à la Reine Par son très humble et très obéissant Serviteur Mique, Architecte du feu Roy de Pologne à NancyAuteur :  Mique, Claude (17..-17..). Auteur du texteÉditeur :  [s.n.][s.n.]
Date d'édition  du Plan:  1770



En comparaison au plan précédent
L'emplacement choisi pour la future caserne Sainte-Catherine
On remarque l'emplacement de la première porte Sainte-Catherine au niveau de la rue Godron (o), le quartier des tanneries, la place d'Alliance (b), le couvent des Frèes de Saint-Jean-de-Dieu rue Sainte-Catherine, le bastion de Vaudémont.


 Plan de Nancy avec les changements que le Roy de Pologne, Duc de Lorraine et de Bar y a fait Dédié à Sa Majesté PolonoiseAuteur :  Le Rouge, Georges-Louis (1712-179.). Auteur adaptéAuteur :  Desnos, Louis-Charles (1725-1805). Cartographe Éditeur :  Desnos (Paris) Date d'édition :  1769 Sujet :  Plan de Nancy   1752



les mascarons de la rue Sainte-Catherine
Photographies Est-Ouest Contacts
 Le 4ème en partant du haut est celui de Joseph Hornecker (1873-1942), l’architecte qui a conçu l’Opéra national de Lorraine. L'un des 161 mascarons présents du côté de la place Stanislas.