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Jean-Baptiste Claudot (Badonviller 1733- Nancy 1805)

dit Claudot de Nancy
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CLAUDOT (Jean-Baptiste-Charles, dit Claudon), XVIIIe siècle, peintre de paysage, fleurs et fruits. Peintre paysagiste, élève de Girardet, de Vernet et de Joly, il fit aussi de la décoration, particulièrement pour la salle du nouveau concert de Nancy en 1774. Reçu bourgeois de Nancy en 1762, il se maria dans cette ville le 14 septembre 1759 avec Marie Hat (paroisse Saint-Roch). Il eut deux fils, dont l'ainé fut peintre dans le genre de son père et le deuxième devint conservateur du musée de Nancy. J.-B. Charles excella surtout dans les peintures, à la mode alors, qui se plaçaient au-dessus des glaces et nommées trumeaux. Il eut huit enfants, sept fils et une fille. Ses principales œuvres sont : le tableau dans la chapelle Ste-Concorde à la cathédrale de Nancy, Saint Sébastien chez Irène, des tableaux pour l'Hôtel du Gouvernement, en 1764 et 1765, en 1766 des peintures à la Comédie, le portrait du Roi, pour l'Hôtel de ville, les peintures du catafalque de Stanislas en 1766, celles pour Louis XV en 1774, …Le 26 octobre, J.-B. Claudot était parrain du fils du sculpteur Söntgen. Vernet a voulu l'attirer à Paris, mais il préféra rester en Lorraine.

J-B Claudot est très connu comme peintre des paysages et décorateur de la seconde moitié du 18ème siècle. Il fut formé par Jean Girardet, premier peintre du roi Stanislas et aussi par André Joly, autre peintre nancéien. On connait ses œuvres à caractère religieux (tableaux et décors de pompes funèbres). Ses personnages de l’époque rappellent ceux de Girardet. On connait ses tableaux à la cathédrale de Nancy et ses décors du théâtre.
Il a travaillé pour la ville de Nancy vers 1764, a réalisé un portrait de Stanislas (portrait disparu) en 1766. On le retrouve à Paris de 1767 à 1769 avec le peintre Joseph Vernet qui lui permet de découvrir une nouvelle forme de peinture, la peinture de paysages (ruines antiques, paysages mélancoliques, sites inventés incluant souvent des détails de sa Lorraine (représentation de villes lorraines, éléments d’architecture ou costumes de sa région).
Cette forme de peinture  rappelle celle de Claude Gellée, lorrain également et dont il a toujours admiré le travail. En 1784, il se fait seconder par le peintre Jean-Baptiste Isabey pour le décor du nouveau théâtre de Nancy.
Après une période difficile au moment de la Révolution, on lui confie de nouveaux des commandes en 1801 (vues de la région de Nancy, commandes diverses de notables lorrains). Les villes de Bayon, Lunéville, Nancy, Pont-à-Mousson sont représentées ;« Le filet suspendu » est au MBA de Nancy.


Il a vécu au 5 rue Stanislas après son mariage avec Marie-Louise Hatt et au 50 rue de la Hache à son retour de Paris en 1769.







Une œuvre de Jean-Baptiste Claudot:
Le bastion des Michottes ou Vue du fossé séparant la Ville- Vieille de la Ville-Neuve, prise de la rue des Michottes Musée des Beaux-Arts de Nancy. Ca 1801. (détail du tableau)
Ce fossé était à l’emplacement de la rue de la Pépinière devenue rue Gustave Simon. On aperçoit les casernes Sainte-Catherine et l’ancien bastion d’Haussonville.

Jean-Baptiste Claudot se trouve à l’emplacement de l’ancien bastion des Michottes . Voir par exemple le plan de la ville de Nancy de Mique (1785).
Pour plus de détails sur ce plan:
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8441673f/f1.item.zoom



et la même partie de la ville en 1770 ( plan de Mique également)
Pour plus de détails sur ce plan:
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53036675m/f1.zoom.r=nancy.langFR



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Vue de la Place de Grève et du Cours de la Liberté Attribué à Jean-Baptiste Claudot (1733, Badonviller - 1805, Nancy) 1801 Huile sur toile H. 85,2 cm ; l. 105,8 cm, P. 1,9 cm Inv. 95.679 Don de M. Mennessier, 1881.

 
Exécuté en 1801, quatre ans avant la mort de Jean-Baptiste Claudot, ce tableau montre la place de Grève (qui deviendra place de l’Académie, puis place Carnot), lieu des exécutions à Nancy, à l’époque révolutionnaire. Il fut commandé par la famille Menessier-Lallement, qui habitait la maison Collenot, située à l’angle de la rue des Michottes et de la place de l’Académie.
Cette œuvre constitue un document précieux pour la connaissance des aménagements urbains menés à Nancy au tournant du XIXe siècle : une partie des fortifications a été détruite en 1778 en vue de la création d’un quartier « moderne » ; bien qu’interrompus par la Révolution (épargnant les vignes se trouvant à l’extrême gauche du tableau), ces travaux ont déjà permis la création de l’esplanade du cours Léopold ; la porte Saint-Louis ou Stainville (aujourd’hui porte Désilles) est en place depuis 1785 ; des maisons neuves viennent de remplacer l’ancienne vénerie des ducs de Lorraine. Au fond se dressent les coteaux de Boudonville et le plateau de Malzéville. Élément à la présence anachronique, la colonne antique permet au peintre d’atténuer le caractère trop sèchement topographique de cette vue dont il anime le premier plan dans le même but : le petit peuple vaque à ses occupations quotidiennes sous la vigilance de la maréchaussée ; rappel de l’actualité révolutionnaire, le groupe de saltimbanques brandit ce qui tenait lieu de « cahier de doléances », vaste tableau compartimenté où étaient inscrites des complaintes commentées par le baladin. Le peintre s’inspire ici des vedute de Piranese, Pannini ou Hubert Robert qui n’hésitaient pas à ajouter une note de fantaisie ou un élément purement imaginaire à leurs compositions. (Palais des Ducs de Lorraine, tableau restauré en 2005)














Nancy, derrière la cathédrale.



Nancy, porte de la Craffe

 
Ces deux dernières  huiles, en pendant, de 28cmx38,5cm ont été vraisemblablement peintes durant la période révolutionnaire puisque sur l'oeuvre que nous montrons sur le tableau de la cathédrale, on distingue la date de 1795 sur une borne au bord du chemin





" vue de Nancy depuis les hauteurs de Beauregard "
Ici encore, Claudot est  peintre lorrain védutiste . Le Védutisme est un genre de peinture, né à Delft, mais très à la mode en Italie au XVIIIe siècle, et qui consiste à représenter avec précision des paysages urbains.



Le château de Malzéville et la ville de Nancy par Jean-Baptiste Claudot
Toile 58x62cm vers 1780
Claudot représenta à plusieurs reprises cette demeure où il alla souvent pour peintre la ville de Nancy toute proche depuis les fenêtres du château.
4500€ le 16/12/22 Paris Aujourd'hui au Musée Lorrain Nancy
voir commentaires ICI



Détail sur tableau de Claudot avec la ville de Nancy, quelques repères: porte Sainte- Catherine, Saint-Léopold, Petites Carmélites (angle Chanzy/Poincaré), hôtel Guerrier de Dumast, quartier Royal, palais du Gouvernement, l’Hémicycle, la place de la Carrière, l’arc de triomphe, les tours de la cathédrale, … »

"On suppose, sans certitude, que ce paysage inscrit dans un ovale parfait était à l’origine destiné à décorer un haut de porte, probable commande du comte d’Hoffelize, propriétaire du château. On sait en revanche qu’il existe un « pendant », autrement dit un tableau frère, assez ressemblant. «Il appartient aujourd’hui à un collectionneur privé, mais qu’on aura la chance de pouvoir l’exposer en même temps que le nôtre, l’automne prochain », précise Pierre-Hippolyte Pénet. « L’exposition est programmée avec le musée des beaux-arts pour les 40 ans du classement Unesco des places Stanislas, de la Carrière et d’Alliance. » (Est Républicain du 11/02/23)



Le château de Malzéville aujourd'hui, avenue du château



Le château de Malzéville, autre tableau de Claudot
A la demande de leurs propriétaires, Claudot représente  leurs demeures.







Colonie agricole et pénitentiaire de Gentilly à partir de 1863



Le château de Gentilly, entrée, vu des jardins, et actuellement "Bon- repos" à Malzéville

En 1620, le duc Henri II construit pour son argentier un château à Maxéville.
C'est un petit édifice rectangulaire à 3 niveaux, avec une haute toiture et
quatre petites tours. Au fur et à mesure des années, le château change de
propriétaires et son architecture est modifiée : par exemple, en 1747, une
nouvelle porte centrale et un balcon décoré de rocailles sont installés.
En 1784, Joseph-François Coster, économiste auprès de Necker, ministre de
Louis XVI, acquiert la propriété, qu'il appelle Gentilly.
En 1862, le nouveau propriétaire, Monsieur Puissant de Suzainnecourt, ancien
dragon de l’armée napoléonienne, y crée et y dirige une colonie pénitentiaire
de 130 enfants et adolescents envoyés là par « correction paternelle » et qui
participent à des ateliers (ébénisterie, taillanderie, charronnage, vannerie,
cordonnerie et travaux à la ferme Saint-Jacques). Douze personnes veillent
sur les enfants et s'occupent de leur éducation. Trois sœurs de la Sainte
Enfance de Marie sont présentes pour la cuisine, la lingerie et l'infirmerie.
En 1921, Camille Cavallier, patron des Hauts Fourneaux et Fonderies de
Pont-à-Mousson, président de la chambre de commerce de Nancy, achète le
château. Il en modifie grandement
l'intérieur et l'extérieur et y emploie
du personnel en grand nombre.
En 1926, à sa mort, son épouse
continue d'y habiter jusqu'à son
décès en 1933.
Son petit-fils, Michel-Paul Cavallier,
héros de guerre (Croix de guerre et
chevalier de la Légion d'Honneur),
directeur des Hauts Fourneaux à son tour, prend la relève et habite le
château avec son épouse.
C'est à sa disparition en 1964, que le château devient la propriété des sœurs
Saint-Charles. Le château devient alors « Notre Dame Du Bon Repos » et se
destine à accueillir des personnes âgées.
Aujourd'hui, plus de 120 personnes vivent au château et dans les différentes
extensions aménagées au fil des années.
Notre Dame Du Bon Repos - 34 rue du Général Leclerc, 54320 Maxéville
(cf)





Nancy depuis Malzéville MBA de Nancy
(documents et légende suivante dans le groupe FB Nancyretro par Clément Daynac)


Tableau peint depuis le lieu-dit "Petit Jéricho", maison qui se situait sur le bras droit de la Meurthe, près Malzéville.

Peint entre 1770 et 1792, pendant la période de la moisson, au premier plan à gauche, on voit des "manœuvres" ou "manouvriers" faisant la pause, au premier plan au centre et à droite, d'autres qui travaillent, devant le pont on remarque une "voiture à échelles" en passe d'être chargée.

Si l'on regarde la ville en détail (de gauche à droite) :
Tout à gauche, dans la brume, Bonsecours et le faubourg St Pierre, puis les porte et caserne Ste Catherine, la Pépinière entourée de son mur (construction achevée en 1770), en arrière plan, la cathédrale et le clocher atypique des Grandes-Carmélites, sur la rive, devant le mur d'enceinte de la Pépinière, la grande villa dite "château Grignon", très connue au XVIIIe siècle comme passage ou destination de promenade (construite dans le décrochement du bastion des Dames, ce qui serait, de nos jours, à peu près entre la rue Charles de Foucault et la rive). En arrière plan de nombreux clochers pas toujours simples à identifier - voir tentative de détail en commentaire - (attention le double clocher, juste à droite des Grandes-Carmélites, n'est pas St Sébastien, mais bien St Léopold (disparu aujourd'hui), l'imposant bâtiment blanc, à droite du château-Grignon, est l'ancienne Gendarmerie (de nos jours rue des cordeliers/rue jacquot, police municipale), tout à droite on voir l'ancienne église St Fiacre (détruite en 1852) qui n'était pas orientée comme l'actuelle.

Grâce au mur de la pépinière (achevé en 1770) et à la présence du clocher de St Roch (détruit en 1792) on peut à peu près dater ce tableau qui est le pendant d'un autre, nommé : "Vue de Nancy, panorama depuis les hauteurs de Beauregard"

Commentaire personnel:

Sur les vêtements au 18ème: « Ce tableau de Jean-Baptiste Claudot montre que l’essentiel du costume féminin populaire est composé à cette époque d’une jupe, d’un tablier et d’une camisole (corsage). Celui de l’homme d’un justaucorps, d’une culotte, et d’un chapeau. Les sous-vêtements, excepté les chemises en lin ou en chanvre, sont rares aussi bien chez la femme que chez l’homme. Petit à petit, les couleurs vives et les rayures envahissent la garde-robe. »
Issu de la vie quotidienne au 18ème siècle

Si j'en crois Emile Badel, concernant le château Grignon du tableau: " Grignon est un vieux mot français qui a plusieurs sens. C'est d'abord quelqu'un qui grigue, grogne, rechigne, a de l'humeur ; puis un grignon est une moustache, des favoris puis c'est encore une sorte de ragoût.
Enfin, l'étymologie la plus probable dit : château où l'on grignote, où l'on grince des dents, où l'on grogne, le mot château employé par dérision pour signifier une pauvre masure.
Dans son étude sur Clodion, M. Albert Jacquot dit que le Chàteau-Grignon (ancienne propriété du comte Molitor) était jadis une villa hors les murs, dans le redan (redent) du bastion des Dames. Cette habitation était sans doute la retraite dissimulée de quelque joyeux viveur ; c'était une coquette et charmante cachette, masquée par un fouillis de verdure. On y trouve encore des panneaux modelés par Clodion, motifs allégoriques de l'amour. Celte propriété appartient en 1903 à un certain M. Pernot."


 Le Pont de Malzéville s'appelle maintenant le Pont Renaissance ....
Délibération # 2012-076 du Conseil municipal de Malzéville [archive], 20 décembre 2012.




Représentation plus ancienne de Nancy et du Pont de Malzéville
 par Matthäus Merian the Elder

Musée Te Papa Tongarewa de  Wellington / Nouvelle- Zélande
1613-1620




Le Pont de Malzéville dessin de Claudot

Voir aussi une peinture du pont de Malzéville par Emile Friant




Vue de Nancy, la Commanderie et l’Étang Saint-Jean


Peinture à l'huile, sans date (fin XVIIIème siècle), (29.5x39cm)
Musée Lorrain (leg René Wiener), photo P.Mignot pour le catalogue de l'exposition Claudot qui s'est tenue au Musée Lorrain en 2006.


Ce tableau nous renseigne sur les environs de la Commanderie et de l'étang St jean.
Au premier plan on observe des manouvriers (ou manœuvres) dans leurs travaux agricoles (ou leur repos!).

Au second plan, au centre, la tour de la Commanderie qui surplombe l'étang de Saint-Jean.

Au 3ème plan, à gauche, le faubourg St Pierre et l'église de Bonsecours (la perspective et les proportions sont "artistiques")
Au même niveau, vers le centre-droit on observe un ou des bois, probablement ceux de la Garenne et de Brichambeau (encore une fois la perspective est douteuse). Voir plan en commentaire.

A l'arrière plan, tout à gauche, un chemin bordé d'arbres
Au centre, au loin : St Nicolas de Port et probablement la Chartreuse de Bosserville

Autre information grâce à Claudot, indépendante de son oeuvre et de sa volonté : Les sources du XVIIIème qui évoquent le peintre (recensement, rôles d'imposition, lettres) orthographient souvent son nom ainsi : "Glaudot" ; cela peut donner une idée de l'accent que l'on avait alors à Nancy (et qui n'a pas totalement disparu).

(photo et texte de Clément Daynac / groupe Facebook nancyretro 2019)




Paysage avec les arches de Jouy

Vue sur l'aqueduc romain de Jouy-aux Arches près de Metz
Musée de la Cour d'Or à Metz

Drouot le 7/12/2021



Pont-à-Mousson
L'abbaye des Prémontrés, l'église Saint-Martin, la Moselle, la butte de Mousson
vente Drouot 7/12/2021



Famille de pêcheurs devant un paysage de rivière
Huile sur toile, au revers une inscription La Moselle à Dieulouard
63,5 x 75 cm

3200 euros vente Drouot nov 2021



Scarpon(n)e au 18ème siècle,carte de Cassini




Le  château de Clévant sur la commune de Custines, aujourdhui ne subsiste qu'un corps de ferme modifié au 19ème siècle; présence d'un colombier

(publication Clément Daynac, groupe facebook nancyretro)

"D'un autre .côté s'offre à nous la vallée où la Meurthe va confondre ses eaux avec les eaux plus limpides de la Moselle. Là s'élèvent, à notre droite, le château de Clévant, avec ses jardins et bosquets, d'où l'on jouit d'une vue délicieuse"
(Lepage 1866)

 "Vue sur Nancy d'une part et sur le val Mosellan d'autre part. En avançant, château de Clévant, puis Custines, jadis Condé, au confluent de la Moselle et de la Meurthe, à la Gueule d'Enfer où fut martyrisé saint Euchaire et plus de deux mille chrétiens au IVe siècle.
" (Emile Badel 1908)


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Scène de vie pastorale / Musée de Remiremont



CLAUDOT Jean – Baptiste Nancy 1733 – 1805
1 – Villageois se reposant au milieu de ruines antiques. A droite une lavandière et son enfant ; à l’arrière – plan, pâtres et bêtes près d’un abreuvoir.
2 - Paysage à la rivière et au pont avec promeneurs, villageoises et pêcheur remontant ses filets. Huile sur toile (Rentoilage) H. 240,5 – L. 127,5 cm Cadre en bois sculpté et doré à motif de feuillages. Les deux :
26000 euros le 28/06/24




Pastorale



Scène galante au bord de la rivière
Vente 350 € le 9/12/22




Autre scène de la vie pastorale (document Clément Daynac)

Sur la vie quotidienne au 18ème siècle, on pourra se rapprocher de cet article

En particulier pour ce qui concerne les costumes, l’essentiel du costume féminin populaire est composé à cette époque d’une jupe, d’un tablier et d’une camisole (corsage). Celui de l’homme d’un justaucorps, d’une culotte, et d’un chapeau. Les sous-vêtements, excepté les chemises en lin ou en chanvre, sont rares aussi bien chez la femme que chez l’homme. Petit à petit, les couleurs vives et les rayures envahissent la garde-robe.



CLAUDOT DE NANCY Jean-Baptiste (1733-1805), attribué à, Paysage animé avec aqueduc



Cascade en Italie



Vente Troyes le 23/10/2020

Claudot dans les courant des "ruinistes"...

Estimation : 1 500 - 2 000 €

Attribué à Jean-Baptiste CLAUDOT dit CLAUDOT de NANCY (1733-1805) : Les lavandières et bergers à la fontaine. Paire de toiles d'origine, 62 x 77. La composition des lavandières s'inspire librement d'une composition de Claude-Joseph VERNET






CLAUDOT DE NANCY Jean-Baptiste (1733-1805), attribué à, Paysage animé à la fontaine près d'une grotte, Paysage animé de bords de lac,.....



Le repos d'une famille de paysans dans un paysage de rivière (détail)





La danse des paysans, détails



Couple de bergers dans un paysage à la cascade



Bergers au pied d'un cours d'eau, dans un paysage de ruines.



 Bergers dans un paysage au barrage.



Bergers et troupeaux



Paysage avec bergers




Attribué à Jean-Baptiste Claudot, dit Claudot de Nancy

Cascatelles
Huile sur toile96x129



Jean Baptiste Claudot -  Pêcheurs remontant leurs filets Panneau de bois fruitier
Hauteur : 16 cm Largeur : 22 cm
850 euros versailles le 26/06/2022



Attribué à Jean Baptiste Claudot dit Claudot de Nancy
Personnages près d'une cascade
Toile. 38x52cm 800€ Vendôme le 11/03/2023





Jean Baptiste CLAUDOT dit CLAUDOT de NANCY
Lavandières sous une voûte et Pastorale
Paire de toiles d'origine H 56.5 cm L 73cm
A rafraîchir 5600€ les 2 toiles Lyon 27/04/23 et 5000€ Lyon le 01/12/23



JEAN-BAPTISTE CLAUDOT DE NANCY (1733-1805), attribué
L'orage dans un paysage avec personnages
Huile sur panneau, pas de signature.
Dimensions : 29 x 39,5 cm

Peintre paysagiste et décorateur lorrain, issu de la noblesse de robe, Claudot est élève de Jean Girardet et André Joly. Il allie les paysages à la ruine antique, à l'image des peintres Vénitiens du 17ème siècle. Émule d'Hubert Robert, il diffuse son goût pour la ruine antique et les paysages mélancoliques. Il corrobore également au sentiment lorrain en peignant des villes telles Nancy, Lunéville, Bayon, Metz et Pont-à-Mousson.



Jean-Baptiste CLAUDOT DE NANCY (1733-1805)

Paysage animé toile 87x81cm 3300€ Paris le 21/11/23



Jean-Baptiste CLAUDOT, dit CLAUDOT de NANCY (Badonviller 1733 - Nancy 1805).
 Les bergers au repos. Huile sur toile. Dimensions: 60 x 73cm
1320€ Nancy le 18/11/23

Peintre paysagiste et décorateur lorrain, issu de la noblesse de robe, Claudot est élève de Jean Girardet et André Joly. Il allie les paysages de ruines antiques, à l'image des peintres Vénitiens du 17ème siècle. Émule d'Hubert Robert, il diffuse son goût pour les paysages mélancoliques. Il contribue au rayonnement de l'art lorrain en peignant des villes telles Nancy, Lunéville, Bayon, Metz et Pont-à-Mousson.




Jean Baptiste CLAUDOT, dit CLAUDOT DE NANCY

Paysages animés.

Paire d'huile sur toiles. 40x53cm 5200€ Nevers le 19/11/23



CLAUDOT dit CLAUDOT DE NANCY Jean Baptiste (1733-1805)
Le repos des bergers dans un paysage avec un cavalier ; Le repos des bergers dans un paysage avec un moulin
Paire d'huiles sur toile (restaurations anciennes)
82,5 x 118,5 cm  5500€ Paris le 25/04/24



Jean-Baptiste CLAUDOT (Badonviller 1733 – Nancy 1805) Les bergers d’Arcadie Sur sa toile d’origine 53 x 65 cm A rapprocher du tableau conservé au musée des Beaux-Arts de Nancy (voir le catalogue de l’exposition Jean-Baptiste Claudot, Le sentiment du paysage en Lorraine au XVIIIe siècle, Nancy, 2006, p.14, reproduit).1600€ Paris 22/03/24


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Pour avoir une idée plus large des peintures de Jean-Baptiste Claudot, voir aussi ICI