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Rémon Constant

Jules Cayette
Marcel Corrette


Rémon (Raymond) Constant

Peintre d'histoire, il meurt à Nancy avant 1657. Ami de Bellange et de Deruet.  Le Musée Lorrain de Nancy possède de puis 1958 les deux de  peintures religieuses ci-dessous, peintures venant de l'hôpital Saint-Charles.

On peut noter que Raymond Constant appartient à une famille qui se situait dans l’orbite de la cour ducale en 1598 ; il est engagé par le cardinal de Lorraine, fils de Charles III. Ayant probablement subi l’influence de Claude Henriet, son atelier est distinct de ceux de Bellange, Déruet, Leclerc.




Rémond Constant : Saint Roch, Saint Sébastien, Saint Charles Borromé
mettant Nancy sous la protection de Notre Dame de Lorette dit " Ex-voto de Claude Beaujan"


Le tableau représente un ex-voto du prêtre Claude Beaujan, en souvenir de l’épidémie de peste
des années 1630. Il est contemporain du vœu des édiles nancéiens d’édifier un monument à la chapelle
de Bon-Secours en septembre 1633.

 L’ex-voto, daté de 1636, reprend le thème en le complétant par les
saints invoqués lors des pestes et par ailleurs patrons de la ville neuve, Saint Roch, Saint Sébastien, qui
calment la colère divine, et Saint Charles Borromée très honoré en Lorraine, en souvenir de la peste de
Milan de 1576 ; la peinture à l’huile dont les dimensions sont de 310x247 cm est une très bonne facture et d’un puissant intérêt historique. Etudié par l’Abbé Jacques Choux en 1958, il a figuré dans plusieurs
expositions (1992).

Il est intéressant de trouver sur le tableau la ville vieille et la ville neuve entourées de fortifications,
comme si elles étaient vues du haut des coteaux de Boudonville à l’ouest, à l’opposé du point de vue
choisi en 1610. On voit à gauche le bastion du Marquis, la porte Notre-Dame, les clochers de l’église
Notre-Dame et de l’église Saint-Epvre et une partie de l’arsenal. On
devine l’église des Dames prêcheresses, l’hôtel de ville, l’église des minimes. A droite, on trouve
l’ermitage Sainte-Anne, la tour de la commanderie, et au fond l’enclos de Maréville avec ses loges où on
plaçait les pestiférés. En bas et à droite, Claude Beaujan dont la tête est aussi celle de Saint Roch,
réconforte les malades et des hommes se joignent à lui, peut-être des médecins, et manipulent avec des
baguettes les corps des pestiférés.




Saint Sébastien et Saint Roch, patrons de la Ville de Nancy


Ce tableau de même origine que le précédent et signé et daté de 1610,
représente encore Saint Sébastien et Saint Roch, patrons de la ville de Nancy, considérés comme protecteurs des cités vis à vis de la peste.

Jules Cayette

(Paris 1882-Nancy 1953)

Généalogie par Brigitte Hellio Caquelin

Jules Cayette, né Édouard Cayette le 27 mai 1882 à Paris 14e et mort le 2 janvier 1953 à Nancy, est un ferronnier, bronzier, ébéniste, sculpteur, modeleur et décorateur ensemblier français. Il appartient au mouvement de l'Art nouveau, puis de l'Art déco.
D'origine modeste, Jules Cayette naît en 1882 d'un père lorrain exilé à Paris. Il reste peu de temps dans la capitale, puisque toute la famille rentre à Nancy en 1888. En 1896, il s'inscrit une première fois à l'École municipale et régionale des beaux-arts à Nancy. Il sort de l'école en 1899 et entre comme apprenti chez Férez, sculpteur sur bois et menuisier nancéien.
En 1900, il se réinscrit aux Beaux-Arts, tout en poursuivant son apprentissage chez Schwartz. Il quitte définitivement l'école en 1902. Pendant cet apprentissage, il a reçu l'enseignement de Victor Prouvé ou d'Eugène Vallin. Ses condisciples furent Auguste Vallin, Joseph Mougin et Pierre Mougin...
En 1904, il entre comme collaborateur chez Jacques Grüber, où il perfectionne son style. Il modèle de nombreux modèles, et réalise les sculptures en lieu et place du maître, en ce qui concerne le mobilier.
L'atelier jouxte alors celui de Vallin, d'où une influence certaine de ce dernier sur les premières œuvres de Cayette.
En 1910, Jules Cayette s’établit à son compte et débute officiellement son activité le 1er août. À partir de 1912, il expose régulièrement à la Société Lorraine des Amis des Arts. C'est à cette époque qu'il rencontre son principal mécène : Saint-Just Péquart (1881-1944).
Il installe son premier atelier rue Collinet de La Salle en 1913, date de sa première mention dans l’annuaire commercial de Meurthe-et-Moselle. En 1919, il déménage et installe son atelier 63 rue des Jardiniers (qui sera complété par celui de la rue du Montet, actuellement avenue du Général Leclerc).
Les années 1920 sont les années de gloire des ateliers qui emploient une douzaine d'ouvriers. Les productions sont très variées : du cendrier en bronze, aux luminaires (toujours avec des verreries de Daum), en passant par le mobilier religieux (lors de la Reconstruction : les ateliers fournissent bancs, autels, confessionnaux, fonts baptismaux... voir les églises de Beaumont, Bouxières-aux-Chênes, Domèvre-sur-Vezouze, Einville-au-Jard, Flirey, Harbouey, Herbéviller, Moncel-sur-Seille, Neuviller-lès-Badonviller, etc.) ou le mobilier commercial (pharmacie Fandre, aujourd'hui au Musée de l'École de Nancy, pharmacie du Point-Central à Nancy...).
Il opère un changement stylistique majeur en très peu de temps : il délaisse le style Art nouveau pour un style transitionnel, puis adopte pleinement le style Art déco pour devenir un pionnier de celui-ci à Nancy dès les années 1926-28, inspirant nombre de ses concurrents dont les ateliers Majorelle (ce point de vue est contesté par certains historiens). Ayant déjà fait ses preuves comme ensemblier commercial (ameublement de pharmacies), il devient également un ensemblier-décorateur pour de très riches particuliers, et aménage des hôtels particuliers complets. Toutefois, après des soucis familiaux et sans enfants, la cessation officielle de l’activité fait suite à la déclaration de l’état de faillite. Il présente néanmoins ses créations à l'exposition du centenaire de la Société lorraine des amis des arts. À partir de 1934, il n’est plus mentionné dans l’annuaire commercial.
Vers les années 1941-1943, Jules Cayette s'installe 113 bis rue du Maréchal Oudinot. Il continue de créer et de produire via les ateliers d'anciens collaborateurs jusqu'à sa mort.
Jules Cayette fut, à l'instar de Victor Prouvé, un artiste multiple, qui explora toutes les voies artistiques : bijouterie, grès, gravure, sculpture, peinture (aucune œuvre actuellement connue), ferronnerie, bronzes, bois....

Oeuvres visibles dans la ville de Nancy :

1. Villa Bonnabel : ferronneries. 107 avenue du Général Leclerc
2. Hôtel Elbel : ferronneries, poignées en bronze. 17 place des Vosges
3. Villa Simon : rampe en fer forgé. 39 rue de la Ravinelle
4. Poignées de porte aux coléoptères. 14 boulevard Charles V
5. Poignées aux pommes de pin. 25 rue Madame de Vannoz, 1 rue de la République, 17 rue de la Ravinelle
6. Banque BNP-Paribas : sculptures de la façade. 9 rue Chanzy
7. Ancienne Compagnie Générale d’Electricité : sculptures de la façade. 64 rue Raymond Poincaré
8. Immeuble Estrade : porte d’entrée (ferronnerie et poignées). 119 avenue de la Libération
9. Immeuble Janin : porte d’entrée. 12 rue Lionnois
10. Villa Les Pins : porte d’entrée (ferronnerie et poignées). 2 rue Albin Haller
11. Pharmacie du Point-central : boiseries, poignée sur la porte de service. Point central
12. Ancienne Pharmacie Fandre : porte d’entrée. 4 rue Raymond Poincaré
13. Immeuble de L'Est républicain : sculptures de la façade, grand escalier intérieur (non visible), plafond. 5 bis avenue Foch
14. Gaufrier Meire : la chaudronnerie du gaufrier. Stand Meire, Foire de Nancy, Marché de Noël.
Visibles dans la ville de Champigneulles, Le monument aux morts.
Visibles dans la ville de Villers-lès-Nancy , Église Sainte-Thérèse : reliquaire de Sainte-Thérèse. Boulevard de Baudricout (Wikipedia)
En photos (perso), la rampe de l'Institut Goethe et le fameux gaufrier que tous les nancéiens connaissent
Texte de Liliane Bal Groupe Facebook Nancyretro 25 déc 2016







Quelques mots par Etienne Martin






Ferronneries de la villa Bonnabel, 107 avenue du Général Leclerc



Jules CAYETTE (1882-1953)
Guéridon Art-déco
En acajou et placage d'acajou à joli plateau formant damier. 
Piètement quadripode relié par une entre-jambe en rond.
Signé "J Cayette Nancy"
Dessus de plateau de verre rapporté
Epoque Art Déco
Dimensions: H: 61; D: 66  cm
m



Maison Bergeret Meuble Vallin Cayette



Porte d'entrée de la villa Elbel 17 avenue de Strasbourg

Construit en 1922 à la place de deux anciens hôtels (dont l'habitation du 19 rue de Strasbourg de Charles Meixmoron de Dombasle), l'hôtel Elbel est l’œuvre conjointe de Louis Déon (architecte) et de Jules Cayette (sculpteur, ferronnier, décorateur). Derrière cet hôtel étaient situées les usines de la famille qui l’habitait : les conserveries Elbel-Mosser. Cayette



Immeuble Estrade 119 avenue de la Libération 1913

Porte d’entrée (ferronnerie et poignées) de Jules Cayette
Ferronnier, bronzier, ébéniste, sculpteur, modeleur et décorateur ensemblier français, il appartient au mouvement de l'Art nouveau, puis de l'Art déco.







Immeuble de L'Est républicain : sculptures de la façade, grand escalier intérieur (non visible), plafond. 5 bis avenue Foch




Villa Les Pins : porte d’entrée (ferronnerie et poignées), 2 rue Albin Haller





Bronzes: poignées de porte, heurtoirs de portes,....





Ancienne banque Renaud, sculptures



Reliquaire, église Sainte-Thérèse de villers les Nacy




Lustre à trois bras vers 1920




Jules Cayette- Suspension en forme de vasque
La monture de bronze ciselé et doré à motifs de pommes de pin
Verre mauve marmoréen
Signature sur la monture
H. 16 cm - L. 41,5 cm (Photo Drouot juin 2022)

KK

   Lustre composé d'une vasque nuage dans les tons mauves et roses et d'une monture en bronze dorée de Jules Cayette, non signée  Diamètre vasque 39 cm   



Jules Cayette (1882-1953) - NANCY
Importante suspension à monture stylisée Art Nouveau en bronze doré finement ciselé à décor d’épis de blé et vasque lumineuse en mosaïque de verre polychrome et résille de plomb à décor de pampres et d’un vol de papillons. Cache-bélière stylisé en bois verni mouvementé et bronze doré ajouré. Diamètre 90cm et hauteur 165cm. Signature manuscrite gravée en creux au revers de la monture et situé à Nancy, vers 1910.




Coupe aux deux hannetons et

Jardinière"sauterelle" par Alphonse Cytère et Jules Cayette en 1907

Alphonse Cytère (Tauves 1861-Rambervillers 1941) et Jules Cayette 
A. Cytère, Ingénieur, directeur de la Société Anonyme des Produits Céramiques de Rambervillers (S.A.P.C.R.)

En 1891, l'ingénieur Alphonse Cytère prend la direction de la S.A.P.C.R. dont l'activité principale est la fabrication de tuyaux d'écoulement vernissés. En 1903, il crée un atelier d'art au sein de l'établissement et édite les pièces (vases, objets décoratifs, éléments architecturaux) fournies par de nombreux artistes de l'École de Nancy parmi lesquels Jacques Gruber, Eugène Vallin, Ernest Bussière, Louis Majorelle, Pierre Claudin et René Jeandelle. Ces objets en grès flammé sont disponibles sur catalogues et présentés régulièrement aux salons de la Société lorraine des Amis des Arts et aux expositions de l’École de Nancy.

Si Alphonse Cytère n'est pas membre du Comité directeur de l'École de Nancy, il adhère à ses principes et contribue à ses efforts pédagogiques avec notamment la création en 1906 d'un concours École de Nancy destiné à de jeunes créateurs dont les pièces sont par la suite réalisées et éditées par la manufacture…



Coupe "qui s'y frotte s'y pique" / héraldique
1920-1929




 Bol héraldique "Qui s'y frotte s'y pique", années 1920, 16,3 x 18,5 cm. Bronze, décor en relief de la croix de Lorraine, entourée de chardons fleuris (armoiries de la ville de Nancy), dans la partie inférieure un motif stylisé de rayons de soleil avec la devise "QUI SY FROTTE SY PIQUE NANCY". Signé : J. CAYETTE NANCY (en relief)



COUPE "CROIX LORRAINE", bronze, L 18, signée, Jules CAYETTE, NANCY, vers 1900



 Coupe trilobée aux algues en bronze, dédicacée « A Me Colliot ». Années 1920. Signée. D : 17,5 cm. Modèle similaire reproduit p. 82 dans l’ouvrage d’Etienne Martin sur Jules Cayette (éd. Serpenoise, 2011).
850 euros le 11/04/22 à Metz



Vide poche "Hannetons". Bronze. Signé et dédicacé "à M. Brorremans".

3 x 22 x 11 cm



Grand Miroir hexagonal Art Déco en fer forgé noirci à motif floral. Vers 1925-1933. 93 x 47,5 cm. 260 euros le 11 avril2022 Metz



Jules Cayette, plaques de portes
gGrandes plaques de porte Art Nouveau en laiton par Jules Cayette, de forme rectangulaire élancée avec des extrémités en forme, moulées en bas-relief avec des têtes de semences de pavot et du feuillage, signé Cayette Nancy
77cm de long, 7cm de large.



Albert BAUER, Nancy. Ensemble Art Nouveau au chardon, constitué d’un coupe-papier en bronze argenté (13 x 2,1 cm), d’un sceau en bronze doré, non gravé (haut. 8 cm) et d’un petit plumier ovale en bronze doré (16,2 x 8 cm). Signés. XXe siècle. Bauer était un bronzier-ciseleur qui travailla notamment avec Jules Cayette. 80€ à Metz le 23/01/23



Jules CAYETTE (1882-1953) (signé J. Cayette), APPLIQUE D'ECLAIRAGE EN BRONZE DORE A DECOR D'EPIS DE BLE, RETENANT DEUX TULIPES DAUM EN VERRE GRAVE A L'ACIDE A DECOR DE CRETES DE COQ (signées Daum Nancy France) - Hauteur 51 cm (cet ensemble figure page 56 sur l'ouvrage d'Etiennne Martin sur Jules Cayette) (deux photographies) 2000 eurosEURO



Ancienne Pharmacie Fandre : boiseries, bronzes, aujourd'hui au Musée de l"Ecole de Nancy, rue du Sergent Blandan; les boiseries de l'entrée du  4 rue Raymond Poincaré
sont toujours en place.




Quelques réalisations:

2. Hôtel Elbel : ferronneries, poignées en bronze. 17 place des Vosges
3. Villa Simon : rampe en fer forgé. 39 rue de la Ravinelle
4. Poignées de porte aux coléoptères. 14 boulevard Charles V
5. Poignées aux pommes de pin. 25 rue Madame de Vannoz, 1 rue de la République, 17 rue de la Ravinelle
6. Banque BNP-Paribas : sculptures de la façade. 9 rue Chanzy
7. Ancienne Compagnie Générale d’Electricité : sculptures de la façade. 64 rue Raymond Poincaré
8. Immeuble Estrade : porte d’entrée (ferronnerie et poignées). 119 avenue de la Libération
9. Immeuble Janin : porte d’entrée. 12 rue Lionnois
10. Villa Les Pins : porte d’entrée (ferronnerie et poignées). 2 rue Albin Haller
11. Pharmacie du Point-central : boiseries, poignée sur la porte de service. Point central
12. Ancienne Pharmacie Fandre : porte d’entrée. 4 rue Raymond Poincaré
13. Immeuble de L'Est républicain : sculptures de la façade, grand escalier intérieur (non visible), plafond. 5 bis avenue Foch
14. Gaufrier Meire : la chaudronnerie du gaufrier. Stand Meire, Foire de Nancy, Marché de Noël.
Visibles dans la ville de Champigneulles, Le monument aux morts.
Visibles dans la ville de Villers-lès-Nancy , Église Sainte-Thérèse : reliquaire de Sainte-Thérèse. Boulevard de Baudricout (Wikipedia)

En photo, le célèbre gaufrier de l'entreprise Meire que tous les nancéiens connaissent

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Marcel Corrette (Fenneviller 1896- Nancy 1946)

Peintre de paysages animés, dessinateur, décorateur.
Il fut élève du peintre de portraits et natures mortes Jules Larcher à l'école des Beaux-Arts de Nancy. Il exposait à Paris au salon des artistes français, dont il devint sociétaire en 1936, il fut en outre dessinateur de mobilier et décorateur chez les Majorelle, encore à la grande époque de l'école de Nancy. Plus tard, il fut nommé professeur de dessin à l'école des beaux-arts et des arts appliqués de la ville. Il a travaillé pour Eugène Corbin le mécène nancéen.
En collaboration avec Amalric Walter il créa de nombreux objets en pâte de verre.

38 rue de Villers Nancy

généalogie par Brigitte Hellio Caquelin




Le goûter sur la terrasse / la famille Corbin
-  1938 Musée de l'Ecole de Nancy



Ballustrade du jardin de la maison Corbin




Maison Corbin




Jardin de la famille Corbin



Jacqueline Corbin devant la maison Coanet aujourd'hui disparue, au 67 rue de Villers (Emile Bertin actuellement); maison possédant un grand parc, acquise en 1932 par Eugène Corbin. (document Bernard Ponton, Fecebook nancyretro)





CORRETTE Marcel , HUILE SUR TOILE, LE MARCHE- 69x89 cm 700€ Nancy 27/10/23



CORRETTE Marcel (1896-1946), Metz la Cathédrale,
 hst, sbd, étiquette de salon en 1936 au dos, 54 x 65 cm.
650€ Metz le 28/02/24



CORRETTE Marcel (1896-1946), Metz, Le temple protestant et le Jardin des Amours,
 hsc, sbd, 45 x 38 cm. 130€ Metz le 26/02/24




Le village dans la montagne



Marcel CORRETTE (1896-1946),
huile sur panneau, paysage, signé en bas à gauche - 47x57 cm 
250€ Nancy le 24/11/23



Paysage. Huile sur carton. Signée bas gauche. H. = 47 cm.; l. = 61 cm.
60 euros le 25/06/22 Nancy



Bar-sur-Loup

Exposition de la Société Lorraine des Amis des Arts de 1937



Paysage



Village de Saint-Jeannet
630 euros le 11/12/2021



Marcel Corrette-  Vue de village dans les Alpes- Maritimes.
 Huile sur carton signée en bas à gauche. 35 x 27 cm.
80 euros le 9/06/2022 Dijon



Nancy, place Saint-Epvre
800 euros salle des Ventes de Nancy le 28 oct 2021



L'église de Villey Saint Etienne près de Toul sous la neige

Huile sur panneau signée en bas à droite 39x31 cm
100€ le 12/07/22 Nantes



CORRETTE Marcel . Eglise de Neuviller. Huile sur toile, signée en bas à droite, titrée et datée 1919 au dos. 38 x 46 cm.460€ le 17/06 à Saint-Dié



"Soucis et sulfure", "Marcel Corrette, 38 rue de Villers à Nancy



Etude de fleurs 1915



Collaboration Marcel Corrette et Amalric Walter, vases, pâte de verre vers 1920-1930



Lampe, collaboration Marcel Corrette et Amalric Walter

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Autre recherche à partir de l'initiale du nom de l'artiste:

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

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